Les données de suivi de l’étude de phase III E1912 évaluant ibrutinib en association avec rituximab versus fludarabine, cyclophosphamide plus rituximab (FCR) ont montré une différence statistiquement significative dans la survie sans progression (SSP) et la survie globale (SG) au long cours chez les patients atteints de LLC précédemment non traitée (âgés de 70 ans ou moins) comparé à un schéma de chimio-immunothérapie standard (sur 48 mois). De plus, l’analyse combinée des études RESONATETM et RESONATE-2 dans la LLC présente la SSP, de la SG et des taux de réponse à long terme (jusqu’à
6 ans de suivi) avec un traitement plus précoce par ibrutinib. Par ailleurs, les données de l’ibrutinib + vénétoclax de l’étude de phase II CAPTIVATE ont montré des taux élevés de maladie résiduelle minimale indétectable (uMRD) dans le sang (75 % des patients) et dans la moelle osseuse
(72 % des patients) chez les patients atteints de LLC précédemment non traitée (pour des traitements en association limités dans le temps et guidés par la MRD).
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