L’essentiel en un clin d’œil
• L’immunothérapie à l’honneur lors de la plénière, pour des mélanomes de stade II à haut risque. L’étude KEYNOTE-716 atteint son objectif principal avec une diminution à 1 an du risque de récidive de 35 % avec le pembrolizumab comparé à un placebo.
• Nouvelles données d’efficacité de l’étude RELATIVITY-047 pour des mélanomes avancés ou métastatiques en première ligne de traitement avec l’association rélatlimab + nivolumab qui montre un bénéfice durable avec une diminution du risque de progression après la ligne de traitement ultérieur.
• L’actualisation des données à 3 ans de l’étude CheckMate 204 confirme l’efficacité de l’association ipilimumab + nivolumab chez des patients porteurs de métastases cérébrales asymptomatiques. Également des données préliminaires de la thérapie ciblée par encorafénib binimétinib dans cette situation associée à la radiothérapie avec des taux de réponse élevés.
• Les résultats de l’étude de phase II SECOMBIT en première ligne métastatique dans le mélanome avec mutation BRAF, évaluant les traitements séquentiels avec bi-immunothérapie (ipilimumab/nivolumab) et thérapie ciblée (encorafénib/binimétinib) avec des résultats plutôt en faveur d’une immunothérapie première ou précédée d’une courte séquence de thérapie ciblée, par rapport à une thérapie ciblée d’emblée.
• Des données avec le tébentafusp qui représente une avancée majeure dans la prise en charge du mélanome de la choroïde métastatique, avec une corrélation entre le taux d’ADNct et la survie, quelle que soit la réponse RECIST.
TOP 1 / Mélanomes en phases précoces : résultats d’efficacité et de tolérance de l’étude KEYNOTE-716, avec le pembrolizumab versus placebo après exérèse complète d’un mélanome de stade II à haut risque
L’étude KEYNOTE-054
Pour rappel, les données de la KEYNOTE-054 avaient montré l’intérêt d’une immunothérapie adjuvante par pembrolizumab sur la survie sans rechute (HR = 0,57) chez des patients porteurs de mélanome de stade III. Les mélanomes de stade IIB et IIC sont également considérés à haut risque avec une survie à 10 ans similaire à celle des stades IIIA et IIIB.
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