Les soins de support ont un intérêt à être intégrés précocement et ne devraient pas être un tabou.
• En effet, au-delà du gain en qualité de vie, une introduction précoce de ceux-ci a montré un bénéfice en survie globale de 3 mois dans les cancers du poumon non à petites cellules (1).
• Plusieurs présentations se sont focalisées sur la prévention des toxicités des traitements anticancéreux et sur l’évaluation des risques de complications.
• La place des besoins et du ressenti du patient a également été mise à l’honneur lors de plusieurs présentations et posters, notamment afin d’améliorer l’observance, l’investissement et l’alliance thérapeutique.
• Les nouvelles données sont rassurantes quant à l’utilisation des anti-PD-1/PD-L1 chez les patients âgés de PS 0 à 2.
• Concernant l’anorexie, si la mirtazapine n’a pas montré d’effet par rapport au placebo, on notera tout de même l’importance de l’effet placebo sur l’appétit, qui peut être facilement exploitable.
• La prise en charge nutritionnelle en cas de cancer requiert plusieurs actions conjointes à personnaliser selon la situation et les facteurs causaux retrouvés.
La lecture de cet article est réservée aux abonnés.
Pour accéder à l'article complet
Découvrez nos offres d'abonnement
Abonnez-vous à la revue et accédez à tous les contenus du site !
- Tous les contenus de la revue en illimité
- Les numéros papier sur l'année
- Les newsletters mensuelles
- Les archives numériques en ligne
ou
Achetez cet article
ou
Inscrivez-vous gratuitement sur Onko +.fr et bénéficiez de l'accès à de nombreuses catégories du site !
- Accès aux catégories d'articles exclusives
- Les newsletters mensuelles
- Votre historique de commandes en ligne