- Ce congrès de l’ESMO a été riche en cancérologie génito-urinaire, notamment dans les carcinomes urothéliaux et les cancers de prostate.
- Comme dans les cancers ovariens, les inhibiteurs de PARP ont eu la part belle lors du congrès dans les carcinomes prostatiques métastatiques avec altérations de BRCA1/2/ATM.
- Les anticorps conjugués aux drogues ont confirmé leur rôle clé dans les cancers urothéliaux.
TOP 1 – Les cancers de prostate localisés
La radiothérapie adjuvante est un standard dans les cancers de prostate localisés depuis la publication de trois essais randomisés (1-3). Cependant, 40 % des patients traités par chirurgie exclusive ne nécessiteront pas une radiothérapie complémentaire après un suivi médian de 10 ans.
L’étude RADICALS-RT
Design
L’essai de phase III randomisé et multicentrique RADICALS-RT a évalué l’intérêt d’une radiothérapie adjuvante (Fig. 1) (4). Au total, 1 396 patients ont été inclus avec un PSA post-opératoire ≤ 0,2 ng/ml et au moins un facteur de risque (pT3/4, Gleason 7-10, PSA pré-opératoire ≥ 10 ng/ml, marges positives) et randomisés :
• soit dans le bras radiothérapie adjuvante,
• soit surveillance et radiothérapie de rattrapage.
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