L’essentiel en un clin d’œil
• Cette année encore virtuelle n’a pas apporté beaucoup de nouvelles informations practice changing dans le cancer du sein, mais plutôt des confirmations et des nouvelles pistes.
• La principale vraie bonne nouvelle est l’arrivée des inhibiteurs de PARP en adjuvant chez les patientes mutées.
TOP 1 / Étude OLYMPIA : bien sûr en plénière !
Les inhibiteurs de PARP et la mutation BRCA
L’apport des inhibiteurs de PARP dans la population mutée BRCA est maintenant bien démontré dans plusieurs cancers en situation avancée : sein, ovaire, prostate, pancréas. L’intérêt en situation adjuvante dans le cancer du sein à haut risque restait à démontrer.
L’étude OLYMPIA
Design de l’étude
L’étude OLYMPIA a porté sur 1 836 patientes mutées constitutionnelles BRCA, porteuses d’un cancer du sein localisé à haut risque, traitées par chirurgie, chimiothérapie adjuvante ou néoadjuvante à base d’anthracyclines ± taxanes. Les patientes ont ensuite été randomisées entre olaparib et placebo pour une durée de 1 an. L’objectif principal de l’étude est la survie sans maladie invasive (Fig. 1).
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