Le refus ou le retardement du traitement anticancéreux conventionnel (TAC) en faveur de la médecine alternative (MA) peut avoir des conséquences très néfastes, notamment en termes de survie pour les patients atteints de cancer. Il y a très peu de recherche concernant l’utilisation et l’efficacité de la MA, partiellement à cause de la rareté des données et de la réticence des patients à avouer l’utilisation de ces thérapeutiques. Afin d’essayer d’améliorer nos connaissances sur ce sujet, cette étude a porté sur les quatre cancers les plus fréquents aux États-Unis de la National Cancer Database entre 2004 et 2013 (sein, prostate, poumon et colorectal) afin d’identifier les facteurs associés à l’utilisation de la MA et a comparé les résultats de survie entre les deux approches.
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