Le néoadjuvant est une opportunité unique pour la recherche clinique et translationnelle. C’est un forum intéressant pour tester de nouvelles molécules, pour évaluer des biomarqueurs candidats prédictifs de réponse, pour décrire l’impact in vivo du traitement et pour identifier des mécanismes de résistance précoces. Il ne s’agit pas seulement d’observer la réponse pathologique, mais également d’évaluer l’impact sur les voies de signalisation ou encore sur le recrutement des cellules immunitaires. D’après Alexandra Leary, le “modèle néoadjuvant” est donc un modèle très intéressant qui doit continuer à être exploité dans le cancer du sein, mais également dans celui de l’ovaire.
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