Physiopathologie
La mucite aiguë induite par la chimiothérapie anticancéreuse, la radiothérapie, la radiochimiothérapie et/ou les traitements médicaux ciblés est un problème majeur dépassant le seul cadre du confort du patient. Il s’agit d’un des principaux facteurs limitants de ces modalités thérapeutiques efficaces dans de nombreux cancers, notamment les tumeurs des voies aérodigestives supérieures et du tube digestif. Avec le développement actuel des associations thérapeutiques combinées à fortes doses, protocoles efficaces et entraînant peu de séquelles à long terme, mais sources de réactions précoces relativement importantes, la prise en charge préventive et thérapeutique de la mucite aiguë fait partie intégrante pour nous de l’arsenal des soins complémentaires dits «d’optimisation thérapeutique», à côté de la renutrition et de la prise en charge de la douleur. Nous faisons ici le point sur la définition, la physiopathologie et la classification des mucites induites par les traitements anticancéreux.
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