Sous l’appellation “accès douloureux paroxystiques” sont regroupées les exacerbations passagères de la douleur cancéreuse, qui surviennent sur une douleur de fond bien contrôlée par un traitement opioïde. Ces accès douloureux paroxystiques (ADPc) ont un retentissement important sur la qualité de vie du patient dont ils limitent notamment l’autonomie.La prise en charge des ADPc constitue un défi quotidien pour les soignants et les patients.Une enquête observationnelle pharmaco-épidémiologique prospective ADEPI a été réalisée dans 46 centres de prise en charge de patients cancéreux de mars 2010 à juin 2010. 512 patients ont été inclus dans le registre. Au final, 85,3 % des patients ont souffert d’ADPc. 44,4 % des patients ont souffert de 2 à 4 ADPc par jour. La durée de ces accès douloureux variait de 15 à 60 minutes.
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