D’après les sous-analyses de l’étude de phase III ALTA 1L, Alunbrig® (brigatinib) a allongé le délai jusqu’à la progression de la maladie intracrânienne par rapport au crizotinib chez les patients atteints d’un CBNPC ALK+ naïfs d’ITK anti-ALK (24 contre 5,6 mois). Est observée une amélioration de la SSP chez les patients non préalablement traités par radiothérapie cérébrale (24 contre 5,5 mois). Alunbrig® a continué de démontrer une amélioration de l’état de santé général/de la qualité de vie par rapport au crizotinib avec un délai de dégradation retardé de l’état général en cas de métastases cérébrales à l’inclusion (16,6 contre 4,7 mois). Des effets indésirables graves sont survenus chez 33 % des patients recevant Alunbrig®. Des effets indésirables fatals sont survenus chez 2,9 % des patients. Par ailleurs, les résultats actualisés de l’essai de phase I/II démontrent que le mobocertinib (TAK-788) a obtenu une durée de réponse de 13,9 mois chez des patients atteints d’un CBNPC avec insertions dans l’exon 20 du gène EGFR. L’essai a conservé un taux de réponse objective confirmée de 43 % et une médiane de SSP de 7,3 mois. Le profil d’innocuité du mobocertinib était gérable.
MC d’après le communiqué de Takeda du 18 septembre 2020.
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