Les résultats positifs d’une analyse utilisant le test MammaPrint à 70 gènes sur des échantillons de l’étude menée par le NSABP-NSABP B-42 ont été présentés à l’ASCO. L’abstract détaille une évaluation rétrospective de 1 866 cas, soit près de la moitié des échantillons de tissu de l’étude initiale, représentatifs de l’ensemble de la cohorte. Les données ont montré que le test génomique MammaPrint pouvait identifier un sous-ensemble de patientes de la cohorte NSABP B-42 qui étaient les plus susceptibles de bénéficier d’un traitement prolongé par létrozole (TPL). Les patientes présentant un profil de risque faible MammaPrint avaient des taux significativement meilleurs de récidive à distance (DR), de survie sans maladie (DFS) et d’intervalle sans cancer du sein (BCFI) lorsqu’elles étaient traitées par un traitement hormonal prolongé. À l’inverse, les patientes présentant un risque élevé sur le plan génomique n’ont pas bénéficié de ce même avantage et auraient probablement pu éviter une hormonothérapie prolongée.
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