Avant de rentrer dans le vif du sujet “cancer et sexualité”, une question me paraît indispensable : comment c’était avant ? En effet, certains mettent leurs difficultés sexuelles sur le dos du cancer. Mais quand on les interroge, on s’aperçoit que la maladie peut être un prétexte à l’arrêt ou, en tout cas, à un espacement non négligeable des relations sexuelles. Parfois même, on évoque un certain soulagement « Au moins, j’ai la paix »1. Ce type de réaction est suffisamment courant pour qu’il vaille la peine d’être évoqué. Cela étant dit, cet article traitera de la souffrance sexuelle due à la maladie, à la difficulté de l’exprimer et aux préjugés autour de cette question. En tant que clinicienne, c’est sur ma pratique que je m’appuie pour
mettre en exergue les troubles, les obstacles, les complications rencontrés par mes patientes et/ou leur conjoint2
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