Les chimiothérapies comportant un sel de platine sont fréquemment associées à des effets secondaires rénaux, ioniques et volémiques. Limiter le risque et la gravité de ces effets passe par une bonne gestion du traitement habituel du patient. Les traitements à visée cardiovasculaire sont les plus concernés de par la fréquence de leur utilisation et leur effet rénal.
Il est donc nécessaire d’apporter des outils pragmatiques à l’oncologue pour l’aider dans la gestion pré et post-chimiothérapie. L’avis d’un spécialiste peut se montrer précieux, mais il doit être rapidement disponible pour s’inscrire de manière cohérente dans le parcours de soins du patient.
La lecture de cet article est réservée aux abonnés.
Pour accéder à l'article complet
Découvrez nos offres d'abonnement
Abonnez-vous à la revue et accédez à tous les contenus du site !
- Tous les contenus de la revue en illimité
- Les numéros papier sur l'année
- Les newsletters mensuelles
- Les archives numériques en ligne
ou
Achetez cet article
ou
Inscrivez-vous gratuitement sur Onko +.fr et bénéficiez de l'accès à de nombreuses catégories du site !
- Accès aux catégories d'articles exclusives
- Les newsletters mensuelles
- Votre historique de commandes en ligne