Lors des vingt-cinq dernières années, le développement de nouvelles thérapies antiémétiques de plus en plus efficaces a énormément diminué l’incidence des nausées et vomissements induits par la chimiothérapie (1). Malgré ces progrès considérables, ces deux symptômes continuent à être les effets secondaires les plus pénibles pour les patients. L’approche préventive recommandée dépend du potentiel émétisant du traitement utilisé. L’adhérence à ces recommandations améliore le contrôle des nausées et des vomissements (2).
Les recommandations européennes du MASCC-ESMO ont été publiées en 2016 et celles de l’ASCO un an plus tard. Il existe peu de grosses différences entre les deux.
Le risque émétogène des chimiothérapies et des anticancéreux est réparti en quatre niveaux :
• élevé (> 90 %),
• modéré (30-90 %),
• bas (10-30 %),
• minime (< 10 %) (Tab. 1) (3).
En cas d’utilisation d’une combinaison de plusieurs agents de chimiothérapie sur un jour, la prophylaxie recommandée est celle de l’agent le plus émétogène.
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