L’essentiel en un clin d’œil
Quoi de neuf en onco-dermatologie lors de cette nouvelle édition de l’ESMO qui s’est tenue cette année dans notre capitale ?
• L’intérêt d’une stratégie néoadjuvante plutôt qu’adjuvante pour des mélanomes de stade III/IV opérables avec le pembrolizumab.
• La confirmation du bénéfice d’une immunothérapie adjuvante chez des patients présentant un mélanome métastatique sans maladie apparente après chirurgie et/ou radiothérapie avec les données actualisées de l’étude IMMUNED.
• Les données à 5 ans de l’étude KEYNOTE-054 qui conforte les résultats d’une immunothérapie adjuvante pour des mélanomes de stades IIIA,
IIIB et IIIC, sans altération de la qualité de vie à long terme.
• De retour sur le devant de la scène, les TILs (lymphocytes infiltrant les tumeurs) avec des taux de réponse intéressants comparativement à l’ipilimumab, dans les mélanomes métastatiques en échec d’anti-PD-1.
TOP 1 – Intérêt du pembrolizumab administré en néoadjuvant plutôt qu’en adjuvant pour des mélanomes stade III/IV opérables (SWOG S1801).
L’hypothèse est de pouvoir générer une réponse immunitaire d’une plus large population de lymphocytes infiltrant les tumeurs, active à la fois localement et à distance.
L’étude SWOG S1801
Dans cette étude de phase II, présentée en session plénière par Sapna P. Patel, 313 patients présentant un mélanome de stade IIIB-IV opérable, cutané, acral ou muqueux, ont été randomisés (1:1) entre :
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