Le durvalumab, administré pendant 1 an après un traitement par chimiothérapie et radiothérapie, confirme son efficacité et sa tolérance en “vraie vie” dans PACIFIC-R, une large cohorte de patients (1 400) atteints d’un cancer bronchique non à petites cellules (CBNPC) localement avancé et non opérable. Le bénéfice de cette immunothérapie a été mis en évidence dans l’essai pivotal de phase III, PACIFIC, avec un taux de survie à 5 ans de 50 % chez les PD-L1 ≥ 1 % (versus 37 % dans le bras contrôle) et est maintenant considéré comme un standard de traitement dans cette indication. Dans PACIFIC-R, la survie sans progression à 1 et 2 ans est respectivement de 60,7 et 49,4 %. Par ailleurs, la tolérance a été comparable à celle observée dans l’essai PACIFIC.
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