À l’occasion des 10 ans de la démarche Seinchrone et de la journée nationale du cancer du sein métastatique le 13 octobre, Pfizer présente des résultats de la 3e enquête « Croyances et réalités ». Les nouveaux chiffres révèlent notamment que les besoins des patientes en soins de support sont mieux repérés ; 65 % des patientes interrogées y ont eu recours depuis l’annonce de leur maladie métastatique (un chiffre qui monte à 77% quand elles sont en lien avec une association de patientes). Elles ont notamment eu recours à un psychologue (48 %), un diététicien (44 %), un kinésithérapeute (34 %), un conseiller en esthétique (35 %) et 28 % ont pratiqué de l’APA. En revanche, le recours aux pratiques complémentaires, comme la sophrologie, la phytothérapie, l’ostéopathie ou encore la réflexologie, reste limité (21 % en 2025 versus 31% en 2021), mais nettement plus fréquent chez les patientes issues du milieu associatif : 76% d’entre elles y ont recours. Parallèlement, des inégalités persistent dans l’accès à l’information et l’accompagnement des patientes. Leur niveau d’information varie notamment selon leur affiliation ou non à une association de patientes.
Face à ce besoin d’accompagnement et d’information des patientes, la démarche Seinchrone a été créée il y a 10 ans afin d’améliorer la qualité de vie en soutenant des initiatives et des associations partout en France. Exemples, à Lille, l’association OMELIA propose des ateliers de socio-esthétique, d’art-thérapie et d’activité physique adaptée en hôpital de jour. À Colmar, les Conteuses offrent un soutien psychologique des patientes par le conte. L’Institut Cancérologique de l’Ouest (ICO) renforce le lien ville-hôpital pour une meilleure continuité des soins, tandis que l’Institut du sein d’Aquitaine (LISA) personnalise le parcours des patientes grâce à un accompagnement et des ateliers d’information coconstruits avec elles.
MC d’après le communiqué de Pfizer du 10 septembre 2025.