L’Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM), a donné son autorisation pour procéder à un essai clinique de phase I du virus oncolytique TG6050 en France. Ce nouveau candidat-médicament sera administré par voie intraveineuse à des patients atteints d’un cancer du poumon non à petites cellules (CPNPC) au stade avancé. TG6050 est issu de la plateforme brevetée Invir.IO™. Il cible sélectivement les cellules cancéreuses et exprime l’IL-12 et l’anticorps anti-CTLA4 directement dans le micro-environnement tumoral. L’essai Delivir inclura jusqu’à 36 patients avec un CPNPC au stade avancé, en rechute après des traitements de référence, y compris les inhibiteurs de points de contrôle immunitaire. La voie intraveineuse est considérée comme la plus appropriée pour cette population de patients présentant une maladie disséminée avec de nombreuses métastases visibles et invisibles par les techniques d’imagerie médicale.
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