Par rapport à un groupe placebo, l’olaparib (Lynparza ®, laboratoire AstraZeneca) en traitement de maintenance réduirait de 27 % le risque de décès (survie globale : 29,8 versus 27,8 mois ; HR = 0,73 ; p = 0,02483).
La réduction du risque de décès atteignait 38 % chez les patientes BRCA 1/2 mutées (survie globale : 34,9 versus 30,2 mois ; HR = 0,62 ; p = 0,02480). Ces résultats sont issus de la 3e analyse intermédiaire de l’étude 19 sur l’olaparib (phase II), réalisée chez 265 patientes atteintes d’un cancer de l’ovaire préalablement en réponse à un traitement à base de platine. Même si le critère de significativité statistique de l’étude (p < 0,0095) n’était pas atteint, l’amélioration de survie globale avec l’olaparib était considérée comme favorable. Cette actualisation de l’étude fait suite à de précédents résultats montrant une augmentation significative de la survie sans progression (critère principal) avec l’olaparib, par rapport au placebo (p < 0,0001).
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