Astellas Pharma a récemment mené une enquête avec Harris Poll auprès de 151 oncologues médicaux et 151 urologues français. Celle-ci révèle que si améliorer la survie globale reste la priorité la plus importante pour les médecins, tous n’ont pas la même approche thérapeutique et le même accès aux dernières recommandations. Les données de vie réelle demeurent essentielles dans le choix de traitement (85 % urologues et 74 % oncologues médicaux). De plus, 75 % des oncologues médicaux et 85 % des urologues ont indiqué préférer des traitements dont l’habitude d’utilisation en routine clinique est bien établie plutôt que des traitements plus récents. Les deux spécialités disent suivre de près les lignes directrices (93 % oncologues médicaux et 87 % urologues), mais ils les confrontent en majorité à leur expérience clinique. Si les hormonothérapies de nouvelle génération (HTNG) font partie des solutions thérapeutiques les plus prescrites par les deux spécialités (27 % oncologues médicaux et 20 % urologues), les barrières d’usage d’une HTNG au plus tôt sont principalement l’inquiétude des effets indésirables (23 % oncologues médicaux et 30 % urologues). Par ailleurs, 56% des oncologues médicaux et 46 % des urologues indiquent que la source d’information la plus importante sont les recommandations. Néanmoins, les deux spécialités (60 % oncologues médicaux et 64 % urologues) ont expliqué que se maintenir à jour des dernières recommandations pouvait représenter un défi. Ainsi, 93 % des oncologues médicaux et 96 % des urologues souhaiteraient avoir plus de temps pour se tenir informés des recommandations. De même, 87 % des oncologues médicaux et 91 % des urologues aimeraient disposer de plus de ressources pour se tenir au courant des lignes directrices. L’enquête souligne également que l’industrie pharmaceutique est un levier important pour avoir un support d’information, notamment par l’accès à un représentant (42 % oncologues médicaux et 44 % urologues).
MC d’après le communiqué d’Astellas du 23 avril 2024.