L’essentiel en un clin d’œil
• Dans cet ASCO ORL, trois phases III dans le cavum, mais une seule qui est utile et permettra de changer les pratiques avec la démonstration du bénéfice d’un anti-PD-1 en association avec la chimiothérapie d’induction et la radio-chimiothérapie dans les tumeurs localement avancées.
• Un essai qui me tient à cœur puisque j’ai eu l’honneur de le présenter : l’association du carboplatine-paclitaxel hebdomadaire avec le durvalumab en première ligne chez des patients inéligibles au cisplatine avec des résultats de survie impressionnants.
• Des données qui commencent à devenir intéressantes avec les vaccins anti-HPV, une nouvelle histoire avec des anti-EGFR bispécifiques et peut-être aussi en ORL le début de l’histoire du démembrement moléculaire et ses thérapies ciblées.
TOP 1 – Une étude démontrant un bénéfice d’un anti-PD-1 dans les cancers du cavum localement avancé
À ce jour, le meilleur traitement pour les cancers indifférenciés du cavum (stade III-IVA à l’exclusion des T3T4N0 et des T3N1) est une chimiothérapie d’induction (cisplatine gemcitabine ou TPF) suivie d’une radio-chimiothérapie avec même une probable place pour un traitement adjuvant par capécitabine. Il y a un fort rationnel pour utiliser des anti-PD-1 : des réponses inflammatoires et des lymphocytes abondants, et une expression de PD-L1 par plus de 90 % des cellules tumorales.
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