L’activité physique en oncologie est devenue incontournable. Il s’agit d’un soin de support qui modifie fatigue et qualité de vie, mais c’est aussi un traitement qui modifie la survie et le risque de comorbidités. Elle s’intègre dans les modifications comportementalistes post-thérapeutiques incluant, outre l’activité physique, les problèmes d’alimentation.
L’activité physique est susceptible de modifier un certain nombre de comorbidités particulièrement délétères, y compris des complications comme les lymphoedèmes qui ne sont plus une contre-indication à l’activité physique et sportive.
Sa mise en place passe par une définition des objectifs individuels et collectifs, une évaluation des réalisations présentes et des organisations idéales à mettre en place dans le futur. Mais elle nécessite aussi une évaluation des pratiques et croyances actuelles, tant vue du côté des patients que vue du côté des professionnels de la santé.
L’objectif secondaire sera d’aboutir à une prise en charge socio-économique de cet apport thérapeutique majeur avec ses déclinaisons en milieu hospitalier et en médecine de ville. Comme chaque année, OnKo+ vous présente un panaroma de ces questions théoriques, pratiques et économiques.
La lecture de ce dossier est réservée aux abonnés.
Pour accéder au dossier complet
Découvrez nos offres d'abonnement
Abonnez-vous à la revue et accédez à tous les contenus du site !
- Tous les contenus de la revue en illimité
- Les numéros papier sur l'année
- Les newsletters mensuelles
- Les archives numériques en ligne
ou
Achetez ce dossier
ou
Inscrivez-vous gratuitement sur Onko +.fr et bénéficiez de l'accès à de nombreuses catégories du site !
- Accès aux catégories d'articles exclusives
- Les newsletters mensuelles
- Votre historique de commandes en ligne