L’activité physique (AP) est associée à une réduction du risque de rechute et à une meilleure survie globale et spécifique. Les mécanismes biologiques de l’impact de l’activité physique sur la survie commencent à être compris. En revanche, il existe des effets de seuil de niveaux de dépense et de durée de pratique en deçà desquels il n’existe aucun effet biologique et clinique.
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