La prise en charge d’une tumeur neuroendocrine bien différenciée de l’intestin grêle doit être double : contrôler le syndrome sécrétoire s’il est présent (syndrome carcinoïde) et proposer un traitement antitumoral. L’exérèse de la tumeur primitive devra être discutée même en présence de métastases à distance afin de traiter ou d’éviter une complication locale aiguë. Les traitements antitumoraux des formes métastatiques peuvent être locaux (chirurgie, radiofréquence, embolisation hépatique) ou systémiques (analogue de la somatostatine, interféron, thérapie ciblée, chimiothérapie ou radiothérapie interne vectorisée).
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